"Pour faire de vieux os,
il faut y aller mollo!
Pas abuser de rien pour aller loin,
Pas se casser le cul.
Savoir se fendre
de quelques baisers tendres
sous un coin de ciel bleu."
Combien d'entre nous y ont pensé, il n'y a pas si longtemps, sur une plage bordée d'une mer d'encre, sur un sommet avec l'illusion d'être plus près du ciel ou en flânant sous les ombrages de quelque chemin creux?
Lequel d'entre nous n'a pas senti alors, par moment, descendre en lui comme une grâce fredonnant les paroles de "l'herbe tendre" ou peu s'en faut?
Peut-être importe-t-il de s'en souvenir par ces temps de reprise?