Comme indiqué sur la photo, IEL était venu se poser sur mon épaule.
Ce pronom neutre inclusif, appris d'une de mes relations très à cheval sur les questions de genre, lui convenait fort bien. Car IEL cachait bien le sien !
Sur son épaule, la papillonne papillonne s'époumonnait une petite fille tandis
que sa mère questionnait: " tu bégayes ? " Avant d'ajouter : " il manque d'élégance
pour être une fille. "
Bref, aujourd'hui, je crains fort de couler une bIELle . Mon logicIEL orthographique est en surchauffe. J'ai peur de désapprendre à écrire.
O le bIEL arc en cIEL, IEL est de toutes les couleurs!